THE PRETENDERS – I go to sleep

Sortie en novembre 1981

Référence REAL RECORDS – ARE 18

Paroles et musique Ray Davies

Enregistrement au Civic Auditorium de Santa Monica, aux États-Unis

  • Chant, guitare et choeurs : Chrissie Hynde
  • Guitare, claviers et choeurs : James Honeyman-Scott
  • Guitare, basse et choeurs : Pete Farndon
  • Batterie et choeurs : Martin Chambers
  • Saxophone : Chris Mercer
  • Trompette : Henry Lowther et Jim Wilson
  • Ingénieurs du son : Bill Price, Jeremy Green et Jon Walls
  • Producteur : Chris Thomas
  • Photographe : Gavin Cochrane

I go to sleep est l’oeuvre de Ray Davies, le chanteur du groupe britannique de rock The Kinks.

Il écrit cette chanson en attendant des nouvelles de la naissance de son premier enfant et de celui de sa femme Rasa. C’est une berceuse pour sa fille.

Le lendemain, le 24 mai 1965, Ray Davies enregistre la démo aux Regent Sound Studios au centre de Londres profitant ses sessions d’enregistrement de l’album Kinda Kinks.

C’est lui qui joue aussi du piano.

Et contrairement à la légende urbaine, The Kinks n’a jamais sorti I go to sleep en disque.

Il figure seulement sur la réédition de l’album Kinda Kinks paru en avril 1998.

Durant l’année 1965 I go to sleep est enregistré par trois artistes : la chanteuse américaine Peggy Lee, le groupe anglais The Applejacks et la chanteuse américaine Cher sur son premier album en solo, All I Really Want to Do.

En 1981, c’est The Pretenders qui reprend cette chanson. Il faut dire que la chanteuse du groupe londonien Chrissie Hynde, est alors la compagne de Ray Davies.

C’est le 5ème single extrait de Pretenders II, le deuxième album de The Pretenders, sorti le 7 août 1981.

Leur 45 tours sort en novembre 1981 et devient rapidement un tube.

En 2008, la chanteuse australienne Sia l’enregistre dans une version assez sensuelle sur son album Some People Have Real Problems.

I go to sleep est adapté en français dès 1965 par Claude Righi qui la chante sous le titre On n’y peut rien.

En 1982, Julie Pietri, sous le pseudonyme de Julie écrit et interprète une nouvelle version : Et c’est comme si.